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Paris met à l’honneur les agents de la propreté sur les grilles de la caserne Napoléon

Danièle Licata
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Exposition  L'exposition "Les coulisses de ma ville » sur les façades de la Caserne Napoléon à Paris

Parce que la propreté c’est l’affaire de tous, la Capitale met à l’honneur ses agents à travers l’exposition « Les coulisses de ma ville ». Ils sont plus de 7000 femmes et hommes à assurer chaque jour la propreté de Paris. 15 portraits sont dessinés et racontés. A découvrir. 

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Avec l’exposition « Les coulisses de ma ville », Paris met à l’honneur les femmes et les hommes, agents de la propreté, à travers 15 portraits dessinés et racontés. 

Cette exposition, qui a vocation à être itinérante, sera installée à partir du 6 novembre 2023 et jusqu’au 8 janvier 2024 sur les grilles de la caserne Napoléon, dans le 4ème arrondissement de Paris. « Les agents de la propreté sont essentiels à la bonne tenue de nos trottoirs, de nos rues, de notre cadre de vie, et pourtant trop souvent oubliés ou invisibilisés » déplore Antoine Guillou, adjoint à la Maire de Paris en charge de la propreté de l’espace public, de la réduction des déchets, du recyclage, du réemploi et de l’assainissement. 

L’exposition « Les coulisses de ma ville » permet de (re)découvrir la diversité des métiers de la propreté (éboueurs, balayeurs, agents d’accueil en déchèterie…) et les parcours de vie tout aussi divers de plusieurs agents. 
Pour cette exposition, la Ville de Paris s’est associée avec l’artiste Christine Boulanger. Elle a rencontré 15 agents, issus de tous les corps de métiers de la direction de la propreté et de l’eau, dont les parcours riches et divers lui ont permis de créer cette série de portraits retraçant leur vie et leur quotidien au service des Parisiennes et des Parisiens. « Chaque crise nous rappelle à quel point leur travail est essentiel, mais c’est au quotidien que les agents de la propreté s’impliquent au service des Parisiennes et des Parisiens. Je suis aujourd’hui très fier que nous puissions les mettre à l’honneur à travers cette exposition, et leur exprimer ainsi notre reconnaissance » conclut Antoine Guillou.
 

Danièle Licata
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